Toybloïd met le BoXon !
Excusez Sacha Page pour nous, mais nous n’avons pu assister à son concert. D’après les ont dits, nous n’avons rien perdu. Mais les ont dits, c’est comme les critiques, il faut s’en méfier.
Nous arrivons donc en plein show du groupe BoXon. Premier album dans les bacs, signature chez une maison de disques et articles dans divers magazines. BoXon Semble être le phénomène rock français du moment. Et pourtant…quelle déception !
Attitude et jeux de scène vu et revu, musique peu exaltante et paroles niaises, du genre : « J'aurais voulu être un gangster, vivre vite et mourir jeune. » Les punks se retournent encore dans leurs tombes. Le souci avec ce genre de groupe ; c’est que dans un premier temps, ça passe mieux sur compact disc qu’en live et dans un deuxième temps, ça pue l’esprit hautain et le look prime sur le reste.
Pour nous, les BoXon ne sont que du sous BB Brunes. Ni la voix du chanteur, ni les mélodies du reste du groupe n’auront réussis à nous convaincre. Le public lui est plutôt réceptif.
Nous attendons donc Toybloïd de pied ferme.
Que dire ? Un show bien rôdé, on sent le travail effectué pour en arriver jusque là. Le Gibus est conquis. Le public danse et pogote dans la bonne humeur sur les musiques du groupe qui prend un malin plaisir à faire le show. Les Toy’s nous livrent un set énergique et carré, moins de « folies » que le concert au Pop Art Café de Reims (pas de reprise de Justin Bieber, ni d’échanges d’instrus…), mais toujours quelques chose de pro.
Parmi le public, nous avons pu apercevoir Boris Jardel, guitariste du groupe Indochine. Nul doute que Toybloïd risque de faire parler d’eux dans les mois à venir.
Peter Adam Coffin.
Copyright ©
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Photos:
Ellimac.
(Merci à elle!)
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